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Art photographique : "La coulée verte". 

Artiste : Jean-Thomas Bédard. 

2012, L’Islet-sur-Mer, Bas-Saint-Laurent , Québec, Canada.

 

Thème :  Nature, : micro paysage, rocher, marée basse, rivage, bord de mer, littoral, fleuve Saint-Laurent, estuaire du Saint-Laurent, estran, battures.

Technique : Photographie numérique.

Format oeuvre originale : 36 x 24 pouces

Format de reproduction : 18 x 12 pouces / 45,72 x 30 x 48 cm, 24 x 16 pouces / 60,96 cm x 40,64 cm et 36 x 24 pouces / 91,44 x 60,96 cm.

Couleurs dominantes : Gris, vert, mauve.

 

Système d'accrochage inclus :

Cadre flottant

 

Interprétation de l'oeuvre par l'artiste :

La coulée verte est un appel à l’imagination de la personne qui regarde cette photographie.  On peut voir dans cette masse rocheuse un simple rocher encore mouillé par la marée haute mais aussi une haute falaise le long de la quelle s’étendrait la mince bande verte de l’herbe qui suit la pente vers le bas.  L’image est en réalité un gros plan sur une structure rocheuse de taille modeste mais la quasi absence de repères spatiaux clairs permet à l’imagination de voir plus grand.

 

Cette photo a été prise à marée basse sur le rivage de l’Islet-sur-Mer dans le Bas-Saint-Laurent en 2012 et est l’une des premières photos de la série LITTORAL – Un fleuve, un regard, série primée au Muse Photography Awards 2021 dans la catégorie Fine Art Photography -Nature et au Neutral Density (ND) Photography Awards 2021, catégorie Fine Art.

La coulée verte - Jean-Thomas Bédard

PrixÀ partir de 243,00C$
  • En tant qu’artiste et environnementaliste engagé, Bédard crée uniquement à partir des matériaux issus de la nature, explorant les variables d’une géographie intime qui se nourrit de son sentiment d’appartenance au territoire.

    Depuis une décennie, il parcourt le littoral du Saint-Laurent et son estuaire, lieu emblématique par excellence qui a nourri l'imaginaire québécois, pour en saisir l’essence. À partir des formes et des textures capturées sur son littoral, l’artiste photographe élabore des espaces imaginaires, sorte de métaphore des liens que l’humain entretient avec son territoire.

    Sa démarche se décline en plusieurs séries caractérisées par un traitement visuel original pour chacune d’elles. Elles évoluent du micro-paysage vers des collages numériques évoquant des figures totémiques ou des déités primitives pour se tourner ensuite vers la fusion de plusieurs images afin d’en faire émerger un monde surréel ou symbolique.

    Sa vision est poétique et holistique et sa pratique cherche à bâtir des ponts entre la nature et les humains. Elle nous invite à transformer notre regard pour passer du narratif de la domination de l’espèce humaine sur la nature à celui d’une nature collaborative dont l’être humain fait partie au même titre que tous les autres êtres vivants.

*Les couleurs peuvent varier d'un écran à l'autre

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